Procès. Huit militaires seront jugés pour l’assassinat en 1973 du chanteur, après le putsch de Pinochet.
« On lui fit mettre la main gauche/ sur la table et un officier/ d’un seul coup avec une hache/ les doigts de la gauche a tranché/ d’un autre coup il sectionna/ les doigts de la dextre et Jara/ tomba…»
Dans sa chanson Lettre à Kissinger, le Wallon Julos Beaucarne faisait, en 1975, le récit du supplice du chanteur chilien Victor Jara, dans les jours qui suivirent le coup d’Etat du général Pinochet, le 11 septembre 1973.
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